An inevitable crash (fr/en)

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Avec le début de saison moyen de Manchester United en Premier League (6ème avec 4 victoires en 8 matchs), certains commencent à s’intéresser au cas Soljkaer qui jusqu’à lors échappait aux critiques.

Malgré des résultats plus qu’honorables (3ème en 2020 et 2èmeen 2021 de PL) depuis sa nomination (2019) à la tête des Red Devils, toutes les équipes de Solskjær démontrent d’énormes lacunes avant tout d’ordre tactique. En effet, elles se font pourfendre bien trop facilement dès lors qu’un adversaire se présente en face à peu près organisé – comme ce fut le cas de Leicester le week end dernier (défaite 4-2).

Il suffit de jeter un œil au CV de l’entraineur Norvégien pour flairer le problème : 7 ans à Molde (Norvège) et 1 an à Cardiff avant de s’installer sur le banc de Manchester United ; un sacré grand écart. Surfant sur la tendance de l’enfant prodige de retour à la maison comme coach, magnifiquement incarné par Zidane à Madrid, il a accepté ce costume qui s’avère depuis le départ malheureusement beaucoup trop grand pour lui.

Le coach Norvégien semble en réalité ne compter que sur deux choses pour remporter des matchs : le talent individuel de ses stars et la chance ! Un peu limité pour le manager d’un tel club. Trois mois seulement après son arrivée, Ronaldo réclamerait déjà Zidane pour le remplacer.


An inevitable crash

With Manchester United’s average start at the Premier League season (6th with 4 wins in 8 games), some are starting to take an interest in the Solskjær case.

Despite more than honorable results (3rd in 2020 and 2nd in 2021 in PL) since his appointment (2019) at the head of the Red Devils, all the teams of Solskjær show huge shortcomings above all of a tactical nature. Indeed, they get slashed far too easily when an opponent presents themselves in a more organized way – as was the case with Leicester last weekend (4-2 loss).

One need only take a look at the Norwegian manager’s CV to see the problem: 7 years in Molde (Norway) and 1 year in Cardiff before settling on the bench for Manchester United; a hell of a big gap. Riding the trend of the child prodigy to return home as a coach, beautifully portrayed by Zidane in Madrid, he accepted this costume which unfortunately turned out to be far too big for him from the start.

The Norwegian coach actually seems to rely on only two things to win matches: the individual talent of his stars and luck! A bit limited for the manager of such a club. Just three months after his arrival, Ronaldo is already claiming Zidane to replace him.