En janvier 2017, Julian quittait Wolfsburg pour rejoindre le PSG contre un chèque de 36 millions d’euros. Le mariage, à première vue, semblait parfait : le PSG en quête d’un leader technique offensif devait trouver en ce jeune (24 ans) et élégant joueur, une relève plus fiable à Javier Pastore, qui confirmait lentement mais surement qu’il n’était finalement pas l’élu.
Mais l’idylle n’aura duré qu’une demi-saison. Après des débuts de bonne facture, le gendre idéal n’a jamais semblé vouloir se faire mal ni se dépasser et finalement se révèle n’être habité par aucune cause supérieure ; malheureusement pour les supporters parisiens.
L’arrivée de Neymar à son poste de prédilection (attaquant côté gauche) le mercato suivant, ne l’a pas ému et peut-être même soulagé, abandonnant ainsi volontiers la lumière et les responsabilités à la star brésilienne. Planqué, il n’a pas su (ou voulu) saisir l’opportunité offerte par Emery de s’installer à un poste de relayeur aux côtés de Verratti et Rabiot, où il aurait pu exceller vu ses qualités.
Après 4 ans de prestations fades voir fantomatiques et de quelques coups d’éclats, Julian semble se satisfaire de sa situation. Il n’est jamais pris en défaut d’un geste d’humeur ou d’agacement face à son rôle de second couteau renouvelé par les différents entraineurs qui se succèdent sur le banc. De plus, il n’a jamais non plus exprimé son envie de départ pour tout simplement jouer ; il répète inlassablement qu’il se plait à Paris et malheureusement on en arrive à croire qu’il dit vrai. Les 7,2 millions bruts par an, la ville lumière et son totem d’immunité dans le groupe auront eu raison du jeu, du football.
le gendre idéal n’a jamais semblé vouloir se faire mal (…) et finalement se révèle n’être habité par aucune cause supérieure
La fin de son contrat en juin prochain devait sonner le glas de cette non-histoire mais Julian est fourbe, il s’est depuis quelques semaines remis à courir – et s’autorise même quelques sprints – et à briller comme un mauvais mari qui après une décennie d’indifférence, apprenant que sa femme consulte un avocat spécialisé en divorce, file en cuisine préparer un petit déjeuner qu’il vient ensuite lui offrir au lit, le sourire satisfait.
Et pourquoi se priverait-il de ces manigances ? Le foot, a un degré plus exacerbé que la société, n’a plus de mémoire ; c’est la prime à l’instantanéité ! Toute décision, opinion est prise sous les lueurs criardes du moment. Ses quatre années ne sont lues qu’à travers ses quatre derniers matchs alors rien de surprenant à entendre Léonardo évoquer une prolongation.
La direction parisienne avait déjà tardé à se défaire du précédent petit prince, Javier, mais lui avait eu au moins le mérite de créer une véritable relation amoureuse avec les supporters, qui peut expliquer la difficulté pour les deux parties de rompre malgré un constat d’échec implacable.
Avec Draxler il n’y a rien, il n’y a jamais rien eu à part de la simple politesse à l’égard d’un enfant propre sur lui qui semble ne rien faire de mal dans son coin. Mais à y regarder de plus près, Draxler est une maladie silencieuse, Draxler est une gangrène pour le Paris Saint Germain et mon unique conseil serait de rapidement s’en débarrasser. Car plus que de s’endormir à titre personnel, il émet un effluve inodore qui empoisonne lentement tout un vestiaire. Pour moi il ne fait aucun doute : ce garçon est extrêmement dangereux.
Draxeler, the shoting star!
In January 2017 Julian Draxler was traded from Wolfsburg to join PSG for a 36 million Euro trade deal. The marriage at first sight seemed like a perfect fit; PSG in search of an offensive technical leader needed to find Draxler. This young 24 year old is an elegant player and a more reliable relief than Javier Pastore, who confirmed slowly but surely that he was finally not the one.
But the romance only lasted half a season. After a good start, the ideal son-in-law never seemed to never want to hurt or surpass himself and eventually turned out to be inhabited by no higher cause. Unfortunate for the Parisian supporters.
The arrival of Neymar at his favourite position (striker on the left side) the following transfer window, did not affect him and perhaps might have even relieved him. Thus willingly abandoning the light and the responsibilities to the Brazilian star. By hiding, he failed (willingly) to seize the opportunity offered by coach Emery to take up a position as a midfielder alongside Verratti and Rabiot, where he could have excelled given his qualities.
After 4 years of bland or ghostly performances and a few bangs, Julian seems to be satisfied with his situation. He is never caught out of position or annoyed as his role as a back-up. In addition, he never expressed his desire to actually leave.
Julian repeats that he likes Paris and unfortunately we’ve come to believe that he is telling the truth. The 7.2 million gross per year, the city of lights and the immunity idol in the group will have gotten the better of the game of football.
he ideal son-in-law never seemed to never want to hurt or surpass himself and eventually turned out to be inhabited by no higher cause.
With the end of his contract next June the thought to terminate this non-story was a possibility, but Julian is deceitful. He has been running for a few weeks again—even able to gain a few sprints. Like a bad husband who after a decade of indifference has learned that his wife is consulting a lawyer who is specializing in divorce and decides to shine light on her by preparing a breakfast in bed.
And why would he deprive himself of these shenanigans? Football, to a greater degree than society, has no memory. This is the instantaneous bonus! Any decision or opinion is taken in the glaring light of the moment. His four years can only be read through his last four games, so it’s hardly surprising to hear Leonardo talk about extra time.
The Parisian management had already been slow to get rid of the previous little prince Javier. He had at least the merit of creating a real romantic relationship with the supporters which can explain the difficulty for the two parties to break up despite a finding of relentless failure.
With Draxler there is nothing that has never been anything but simple politeness towards a clean child who seems to be doing nothing wrong in their corner. But with closer inspection, Draxler is a silent disease. Draxler is gangrene for Paris Saint Germain and my only advice would be to get rid of him quickly. More than falling asleep on a personal basis, it emits an odorless fragrance that slowly poisons an entire locker room. For me there is no doubt, this boy is extremely dangerous.